Amoureuse du Québec qu’elle visite annuellement, et de surcroît diplômée de l’UQAM, la vigneronne Brigitte Jeanjean nous fait partager ce fier héritage familial à travers ses vins bio.

Il est toujours réjouissant de se procurer un vin à prix modeste et de faire une heureuse découverte.

Voici trois vins rouges élaborés avec soin, en harmonie avec la nature et avec le plus grand respect pour l’expression du lieu d’où ils proviennent.

Bien des étoiles brillent au firmament du Languedoc vinicole, et il y en a une qui rayonne fort joliment au Québec : celle de Gérard Bertrand. De grands vins à découvrir…

Quatre vins rouges à retenir. Faites-en provision dès maintenant pour les célébrations de fin d’année.

Vous êtes peut-être tombés récemment sur la bonne bouille du professeur Fabrizio Bucella entre deux vidéos sur les réseaux sociaux. Avec son accent bien marqué et son humour désopilant (poil aux dents), ce Belge est apparu comme un ovni dans le monde des réseaux sociaux du vin. 

Voilà trois cuvées provenant d’autant de régions différentes, mais présentant une trame commune dans leur élaboration : leurs cépages.

Appelés parfois hybrides, les cépages interspécifiques sont en train de s’imposer en Belgique comme la voie royale pour que ce petit pays soit doté d’un vignoble écoresponsable qui produit des vins singuliers et représentatifs d’un terroir unique.

L’acidité est une constituante essentielle du vin. C’est ce qui donne l’impression de fraicheur et le côté suret ou acidulé d’un blanc, d’un rosé ou même d’un vin rouge. Et on le sait peut-être moins, mais l’acidité contribue aussi à ralentir le processus de dépérissement du vin. Explications.

Vous le savez, le végétalien (ou vegan) limite son alimentation aux produits issus du monde végétal. Pas de produits laitiers, pas d’œufs, pas de produits qui proviennent directement des animaux etc. Mais qu’est-ce que le vin a avoir avec ces produits ? On peut en trouver dans la confection du vin à un moment précis : lors du « collage » du vin.

« Blanc puis rouge, rien ne bouge, rouge puis blanc, tout fout le camp. » Ce dicton semble s’être inspiré d’une expression qui origine de la marine :  » Si le pavillon blanc est au-dessus, les marins restent à bord, rien ne bouge ». Mais si le rouge est au-dessus, c’est quartier libre et là, tout fout le camp. » Bref, il faudrait donc toujours  boire le vin blanc avant le vin rouge. Or, qu’en est-il en réalité ?

Comment s’y retrouver parmi les cépages blancs ? Voici quelques points de repères pour vous guider dans les principales variétés.  Par Frédéric Arnould (lefred@toutsurlevin.ca) Chardonnay :  C’est le cliché du […]